Tuesday, February 28, 2006

Science Communication 2

1. L’ETUDE DES CONCEPTIONS

L’étude de STS n’a pas de rôle à jouer de développer telle et telle technologie, mais elle sert à intervenir dans la discussion discursive et dialectique concernnant le choix de technologie, et essayer d’expliquer comment et pourquoi telle décision est prise pour telle technologie, ainsi que d’aider aux partiipants voir clairement les parcours de débat et aboutir à la décision du choix de technologie.

Pour aborder à cette étude, je pose mon hypothèse comme suivante ; Vers la société de savoirs, la communauté mondiale nécessite d'être englobé par le reseaux des citoyens qui sont devenue plus en plus puissant dans les savoirs de science et de technologie. Mais l'apport de cette puissance n'atteind pas encore de maitriser le procedure autonome de la décision concernant le choix de technologie.

Dans l'histoire de l'humanité, la culture humaniste cherche toujours l'harmonie d'entre l'opposition de technocratie et techno-démocartie, mais la civilisation ne le permet pas toujours. Pourquoi existe-il cette trilogie ainsi sous plus ancienne forme de mythe de l'harmonie entre la nature et l'être humaine ? Peut-on encore rechercher la forme plus fine et complété quelque soit exister pour perfectionnner la digne de l'humanité, ou doit-on limiter l'image de cette mythe de façon assez moderne de notre rationalité d'interpréter la science et technologie ?

J’essaye d’observer assez rationnellement sur les trois axes des acteurs, l’un dans la techo-cratie qui décide la politique de recherche, l’autre dans la techno-démocratie qui jouent un rôle de médiateur pour la décision politique, et la créativité de nos citoyens pour essayer de dire oui ou non dans la question ainsi intriguée. Je pense que cettes observations pourront nous rapporter une référence plus convainquante d'évaluer préalablement des cas spécifiques, et pour la démarche je vous invite d’explore dans l’histoire de ITER et de OGM.

L’affaire de ITER et OGM est connu de leur retenticement de débat national et international. Le programme d’ITER a été une fois prononcé par deux chefs d’Etat, Ronald Reagan le président des Etats-Unis et Mihaelle Gorbachev d’ex Soviet Union, ayant représenté l’éclat du monde de la guerre froid à l’époque, mais qui s’exprimaient l’espoire d’établir une collaboration pour but de fournir l’énergie de la fusion nucléaire, de la manière métaphorique de créer l’autre soleil sur notre planet.

En 1985, les Etats-Unis, l’ex Soviet Union, l’Union européen et le Japon ont conclus cet accord de collaboration. Les études de méchanisme de plasme et de la fusion nucléaire ont été déjà élaboré dans plusieurs pays, et suivant le développement technologique la communauté scientifique concernée à l’ITER a lancé la compétition pour décider l’implantation géographique et administrative du site de laboratoire. Cette compétion a en fait su un parcours de méandre, mais elle a fini par connaitre la rivalité entre la France et le Japon durant les années 1990 jusqu’à 2005.

Ce progarmme a survécu en effet vingt ans de parcours, une fois de la négociation purement scientifique et technologique des savants et des chercheurs et politico-diplomatique et l’autre fois de la contingence politico-diplomatique internationale (phase de techno-cratie). Le fort débat s’incarne dans chacuns des pays concerné à la compétition, entre les expertises, le gouvernement, et les contribuant des impots. Pourtant le débat ne solicitait pas la créativité des citoyens pour l’investissment économique, et les agents étatiques interviennent dans la prolifération de la compréhension par les citoyens, c’est la caracteristique de ce débat (la phase de techno-démocratie).

L’affaire d’OGM est entré dans le débat controverse des années 1990, issues de la décision de l’OMC concernant la brevetabilité et la commercialisation du vivant et de la technologie de la modification génétique. La Commission européenne a adopté la loi d’effectuer cette convention sur le marché européen, mais ils ont su toute la vitesse la protestation globale sous plusiers formes, conférence des citoyens, science-workshop, manifestation dans les rues, de la part des citoyens, paysants, les agriculteurs, les consommateurs, les chercheurs et les politiquement concernés.

Les forts débats sur l’OGM ont forcé à tous les acteurs de l’affaire de se battre pour prendre la décision politique de cette technologie. Nottamment, les corps étatiques ainsi que les groupements des citoyens ONG ont organisé la mise en exament de cette technologie (phase de créativité des citoyens), soit pour détecter les défauts scientifiques soit pour éliminer le risque technologique.

Les nombreux programmes de l’assessment technologique ont été lancé, par l’OPECST en France, le POST en Grand Bretagne, le STOA et le EPTA au Parlement Européen (phase de techno-démocratie).

Sur la premier phase de bataille par les citoyens, ils ont inventé une fameuse régulation de « Principe de Précaution » face à la commercialisation de l’OGM sur le marché, même sur le process de l’innovation technologique. La conséquence, ils se semble à savoir le repose de combat.

Ici, je pose le grille des faits sur ces deux affaires (voir figure 1).

Surement, la communication est échangé entre les plusieurs steak-holders, les corps étatiques, l’établissement publique de la recherche, l’agent publique et privé de l’intervention de la communication, les majeurs et mineurs contribuants de resources (gros entrepreise de technologie et les peyeur des impots etc). Je propose ici de voir ces steak-holders dans la dimmension de collectivité à l’echelle individuelle, locale-regional-publique et internationale. Le fonctionnement de ces steak-holders sont aussi variés, à l’echelle de la centrifuge politique, l’assessement et l’évaluation neutre (scientifique et technologique), mais aussi au degré de l’overture publique du service. Les critère de ces évaluations ne sont pas toujours claire, rien de la mesure quantitative, mais ils doit montrer la différence de l’uns à l’autres.

Sur la figure 2, je pose les axes de la dimmension de collectivité et du service politico-social, et j’essaye de voir les steak-holders regroupés chacuns à leurs positions. Cette méthode n’est qu’une approche hypothético-réductive sans les valeurs mathématiques en réels. Je guide les yeux avec la notion de « social trust » sur trois espaces des acteurs. L’un se trouve à haute colléctivité internationale et centrifuge politique, par exemple l’UE, la commité de l’ITER, qui sont la phase de techno-cratie.

L’autre se place au milieu, les moyens collectivité et ouverture social, les institutions de la recherche, le corps de l’assessment technologique, qui sont la phase de techno-démocratie. Le dernier correspond à haute collectivité local et ouverture sociale, les individus et groupements universitaires, des citoyen et des concernés agriculturelles etc, qui sont la phase de créativité des citoyens.

Dans ce shéma je donne à priori les figures par fleche qui designe l’orientation et l’intérêt de la communication. La communication de l’ITER s’expédie de la phase technocratique et elle s’oriente à la couche sociale de décision, qui sont la phase de techno-démocratie. La communication d’OGM s’orient de la phase des citoyens vers la couche des savants et des decideurs. Ici, l’ante-évaluation de ce trafic consiste à mesurer tous les communications par les critères figurés dans le shéma.

Pourvu que cette étude n’attend que la démarche de la recherche, il est immaturé de montrer les chiffres de trafic de communication, mais la nature de communication de l’ITER et de l’OGM est supporté à priori par l’observation intuitive. Pourtant dans ce shéma, j’ai posé le rôle du marché techno-économique qui se communique à trois phases pour stimmuler l’innovation ou inhiber l’obstacle de l’innovation.

Par cette shématisation, le rôle et le fonctionnement de deux phase techno-cratie et techno-démocratie sont assez claire, mais où sont la créativité des citoyens ?

Par contingence de la communication discursive et argumentative, je pose mon hypothèse que la troisième phase correspond à la vulgarisation des sciences.

Sur le figure 3, je montre le shéma hypothétique de l’appuye sur la nécessité d’intensifier la communication de vulgarisation des science en plusieurs sortes. Les couches des savoirs et des décision ne sont pas la même que le figure 2. En effet, j’ai besoin d’identifier les quatre couches, communication scientifique, technologique, épistémique, et de la vie quotidienne.

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