Monday, March 20, 2006

The follow up of Research Policy (MFJ)

The Inverview Reseach & Investigation following the Colloque on Research Policy (MFJ)

Date, Place, Division:
22/Mar/2006, 15h-17h30, NISTEP-MEXT, STFC

Requesting Person 1
NAME: Alain-Marc RIEU
INSTITUTION: Professor, University of Lyon 3 Jean Moulin Senior Research Fellow, East Asian Studies Institute (CNRS), ENS (lsh)
ADDRESS: 15, Parvis R. Descartes, BP 7000, 69342 Lyon Cedex, France
TEL: (33) 04 3737 6470
FAX:
EMAIL:
amrieu@gmail.com

Accepting Person 2
NAME & INSTITUTION: HAMADA Shingo (Affiliated Fellow)
INSTITUTION:
STFC -NISTEP
ADDRESS: 2-5-1, Marunouchi, Chiyoda-ku, Tokyo, zip 100-0005 JAPAN
TEL: 81-(0)
3-3581-0605
FAX: 81-81-(0)3-3503-3996
EMAIL:
hamada@nistep.go.jp

Participating Person 3
NAME & INSTITUTION: OKUWADA Kumi, TACHIKAWA Makoto
INSTITUTION:
STFC -NISTEP

Objective and theme :
Science and Technology planning in Japan : methodology for conception, implementation and evaluation.

Documents to be consulted :
Documents concerning Japan’s three basic plans for Science and Technology, especially documents concerning the evaluation of the first two Plans and the formation of the third plan. The documents concerning the Interdisciplinary Coordination in Japan’s Basic Frame Work (2nd, 3rd)

The summary of the objective in half page :
- Need to know what kind of documents are available, in which language, how to have access to them, who are the specialists whom have participated to the conception of the 3rd plan.
-
Writing articles and a book, participating to conferences and teaching.
- Before visiting research, the Person 1 has
explained to the Person 2 the conditions to access documents and what kind of documents were available in English. Also discussed various topics concerning the conception of the 3rd basic plan and also various types of possible collaboration on these issues.
- Especially focus on the recent trend of political implication of “Science Technology and Society”, Comparative discussion of the role of Interdisciplinary Approach of EU (FP-ERA, NEST-SSH) and Japan (Basic Frame Work)
- The Person 1 propose a possible collaboration frame work of S&T Policy study by FP7.

The report of the activities (1-2 pages, to be filled) :



Sunday, March 12, 2006

Research Design

The Science Communication Project in Japan

By Mr. Shingo Hamada

SciCom Japan NPO http://scicom.jp

Affiliated Researcher,
Science and Technology Foresight Centre/NISTEP

I. The necessity of STS based research on Science Communication.

1. A brief History of Japanese Science and Technology Journalism and its limit

2. Emerging arguments – Regulatory, Risk Communication, Technology Assessment, PUST and PUR, Governance of S&T, Career Path of Researchers

3. The broad range spectrum of STS based research on Science Communication

4. How should be established the Science Communication Program ?

5. In corporation with Asian Countries – The culture of Science Communication in Europe-America-Asia

II. Researchers Training in Science Communication.

6. Science Communication/Writing as a researchers career. – New facet of Methodology from HPST.

7. Professional Writing/Communication and Popular Writing/Communication.

8. The indication metrics on PUST is not omni-potent !

9. Toward the quest of sharing the creativity.

10. Science Communication Incubation Centre.

III. Science and Media – New communication tools for sharing creativity.

11. A creative interaction between Science, Technology and Arts.

12. Some experimental trials in Japan and Asia.

13. Excellent examples in the world.

14. Training as communication skill for researchers and Interaction with S&T Museum

15. How can we establish the research and practice activity ?

IV. Laboratory studies on Technology Shaping

16. Science Communication as Laboratory Management.

17. Technology Communication on outcome as Technology Shaping.

18. How the researchers come out a Venture actor ?

19. Looking around for the Techno-Producer in Asia – The discourse of national innovation and mobility of researchers in Asian area.

20. The end goal of techno-economy incubation for sponsors.

V. Ready for Town meeting !

21. Catering of Science Communication as a training in the public.

22. Useful and available public places – Labo, Institutions, University, School, Museum, Theatre, Café.

23. The testimonies of Café Science in Europe.

24. Town meeting of International Conference and Exposition – The role of Interpreter.

25. Now ready to get into Town !

The Abbreviations :

STS – Science, Technology and Society. HPST – History and Philosophy of Science and Technology.

PUST – Public Understanding of Science. PUR – Public Understanding of Research

Tuesday, February 28, 2006

Science Communication

JIES 2005 Science,Communication, Société

Le Title :

La Trilogie de la techno-cratie, techno-democratie et la créativité

des citoyens dans la communauté des savoirs

M.Shingo Hamada* (**Affiliated Fellow)

*Université de Bourgogne CRCMD

**Science Technology Foresight Centre/National Institute of Science Technology Policy

Ministry of Education, Sports, Culture and Science Technology

2-5-1 Marunouchi, Chiyoda-ku, Tokyo Zip 100-0005, JAPAN

E-mail : sh_ub@yahoo.fr

Mots clès : Techno-cratie, Techno-democratie, SCS, Vulgarisation des sciences et technologies, STS, Savoirs dans la communauté, OPECST, STOA , Science & Société de l’UE, ITER, OGM, IPCC, ICT, Technologie Assessment, Conférence des Citoyens, .

Résumé : Il s’agit de l’étude préliminaire sur l’ensemble du choix de la technologie et de la méthodologie de STS concernant les plusieurs discours technologiques. Les études ant-evaluatives (benchmark test) vues par la notion de SCS sur les nouvelles technologies tel que l’ITER, l’OGM, l’IPCC sont élaborés pour le but d’approfondir la recherche. Les arguements des choix technologiques, du système de recherche et d’innovation, de la décision politique et participation publique sous le contraint du développement durable sont présentés.

Abstract :

It treats the preliminary study in together of the décision of technology and the methodology of STS concerning some technological discourse. The studies of ant-evaluation (benchmark test) seen from the SCS on the new technology like ITER and GMO, IPCC are elaborated in order to make further research. The arguments of the technological decision, research and innovation system, the political decision and public participation under the condition of sustainable development are presented.

Science Communication 1

1. INTRODUCTION

Au tournant de notre ère glorieuse de l’évolution des sciences et des technologies, les évennements nombreux des dégats et des dommages sur l’environnment ont changé notre épstémé de l’avancement scientique sur notre humanité.

La hausse de productivité industrielle basé sur l’énergie fossile a augmenté notre activité humaine explorant dans la dimmension environmentale, mais contrasté à l’augmentation des pollutions de l’air, du sol et de l’eau. Le creu de sphère d’ozon et l’augmentation de température causé par l’effet de serre nous enseignent que nous vivons dans nouvel ère, qu’on n’a jamais eu, du élaboration de s’adepter à vivre dans le changement de climat.

L’augmentation explosive de démographie du monde entier a su que nous n’avons pas de nourriture pour tout le monde et que les pays industriellement avancé sont du à exploiter les allimentations issues des OGM (Organisme Génétiqument Modifiée). L’avancement scientifique et technologique ne sait pas cesser de manière que la biotechnologie nous permets de modifier l’ADN et sur cette base de fabriquer les entités biologiques artificiellement. La technique médicale de cellule moléculaire ont également parvient aux patients avec la nouvelle évangile de la thérapeute génétique, sur le plan de prognose, de diagnose et de la fécondation.

Le fameux projet « Manhattan » a délivré la technologie atomique et nucléaire, issues de la recherche physique atomique, à la quelle toutes les humanités ont su les innombrables victimes y compris ceux d’accident nucléaire, la société moderne ne cesse pas de dependre plus en plus de l’exploitation nucléaire, voire le future génération de réacteur ITER (International Thermalnuclear Experimental Reactor), tandis que l’argument de l’énergie renouvellable est fortement prononcé en faveur du développement durable, ce qui est l’enjeux de notre civilisation.

Toutes ces questions comportent à l’intérieure de leurs discours, un aspect discoursifs et dialectique concernant l’utilisation de la technologie. Si la réponse est binaire, pour tout le monde de dire simplement oui ou non, l’histoire de l’humanité ne se complique pas autant. Ce qui est grave de la nautre de ces questions, c’est que la question de choix de technologie accompagne le contexte social, comment s’adapter la technologie à la question stratégique de la société, comment et qui vivre mieux. C’est une fameuse énoncé que l’universalité de la science est globalement favorable pour la dignité humaine, mais l’adaptation contextuelle de la technologie (et aussi de la science) dans la société est hautement stratégique, par fois divisible, séparationiste, et hautement discoursive. C’est la nature de discours de STS, et c’est à cause de la conjonction de la scientificité et de l’humanité.

Science Communication 2

1. L’ETUDE DES CONCEPTIONS

L’étude de STS n’a pas de rôle à jouer de développer telle et telle technologie, mais elle sert à intervenir dans la discussion discursive et dialectique concernnant le choix de technologie, et essayer d’expliquer comment et pourquoi telle décision est prise pour telle technologie, ainsi que d’aider aux partiipants voir clairement les parcours de débat et aboutir à la décision du choix de technologie.

Pour aborder à cette étude, je pose mon hypothèse comme suivante ; Vers la société de savoirs, la communauté mondiale nécessite d'être englobé par le reseaux des citoyens qui sont devenue plus en plus puissant dans les savoirs de science et de technologie. Mais l'apport de cette puissance n'atteind pas encore de maitriser le procedure autonome de la décision concernant le choix de technologie.

Dans l'histoire de l'humanité, la culture humaniste cherche toujours l'harmonie d'entre l'opposition de technocratie et techno-démocartie, mais la civilisation ne le permet pas toujours. Pourquoi existe-il cette trilogie ainsi sous plus ancienne forme de mythe de l'harmonie entre la nature et l'être humaine ? Peut-on encore rechercher la forme plus fine et complété quelque soit exister pour perfectionnner la digne de l'humanité, ou doit-on limiter l'image de cette mythe de façon assez moderne de notre rationalité d'interpréter la science et technologie ?

J’essaye d’observer assez rationnellement sur les trois axes des acteurs, l’un dans la techo-cratie qui décide la politique de recherche, l’autre dans la techno-démocratie qui jouent un rôle de médiateur pour la décision politique, et la créativité de nos citoyens pour essayer de dire oui ou non dans la question ainsi intriguée. Je pense que cettes observations pourront nous rapporter une référence plus convainquante d'évaluer préalablement des cas spécifiques, et pour la démarche je vous invite d’explore dans l’histoire de ITER et de OGM.

L’affaire de ITER et OGM est connu de leur retenticement de débat national et international. Le programme d’ITER a été une fois prononcé par deux chefs d’Etat, Ronald Reagan le président des Etats-Unis et Mihaelle Gorbachev d’ex Soviet Union, ayant représenté l’éclat du monde de la guerre froid à l’époque, mais qui s’exprimaient l’espoire d’établir une collaboration pour but de fournir l’énergie de la fusion nucléaire, de la manière métaphorique de créer l’autre soleil sur notre planet.

En 1985, les Etats-Unis, l’ex Soviet Union, l’Union européen et le Japon ont conclus cet accord de collaboration. Les études de méchanisme de plasme et de la fusion nucléaire ont été déjà élaboré dans plusieurs pays, et suivant le développement technologique la communauté scientifique concernée à l’ITER a lancé la compétition pour décider l’implantation géographique et administrative du site de laboratoire. Cette compétion a en fait su un parcours de méandre, mais elle a fini par connaitre la rivalité entre la France et le Japon durant les années 1990 jusqu’à 2005.

Ce progarmme a survécu en effet vingt ans de parcours, une fois de la négociation purement scientifique et technologique des savants et des chercheurs et politico-diplomatique et l’autre fois de la contingence politico-diplomatique internationale (phase de techno-cratie). Le fort débat s’incarne dans chacuns des pays concerné à la compétition, entre les expertises, le gouvernement, et les contribuant des impots. Pourtant le débat ne solicitait pas la créativité des citoyens pour l’investissment économique, et les agents étatiques interviennent dans la prolifération de la compréhension par les citoyens, c’est la caracteristique de ce débat (la phase de techno-démocratie).

L’affaire d’OGM est entré dans le débat controverse des années 1990, issues de la décision de l’OMC concernant la brevetabilité et la commercialisation du vivant et de la technologie de la modification génétique. La Commission européenne a adopté la loi d’effectuer cette convention sur le marché européen, mais ils ont su toute la vitesse la protestation globale sous plusiers formes, conférence des citoyens, science-workshop, manifestation dans les rues, de la part des citoyens, paysants, les agriculteurs, les consommateurs, les chercheurs et les politiquement concernés.

Les forts débats sur l’OGM ont forcé à tous les acteurs de l’affaire de se battre pour prendre la décision politique de cette technologie. Nottamment, les corps étatiques ainsi que les groupements des citoyens ONG ont organisé la mise en exament de cette technologie (phase de créativité des citoyens), soit pour détecter les défauts scientifiques soit pour éliminer le risque technologique.

Les nombreux programmes de l’assessment technologique ont été lancé, par l’OPECST en France, le POST en Grand Bretagne, le STOA et le EPTA au Parlement Européen (phase de techno-démocratie).

Sur la premier phase de bataille par les citoyens, ils ont inventé une fameuse régulation de « Principe de Précaution » face à la commercialisation de l’OGM sur le marché, même sur le process de l’innovation technologique. La conséquence, ils se semble à savoir le repose de combat.

Ici, je pose le grille des faits sur ces deux affaires (voir figure 1).

Surement, la communication est échangé entre les plusieurs steak-holders, les corps étatiques, l’établissement publique de la recherche, l’agent publique et privé de l’intervention de la communication, les majeurs et mineurs contribuants de resources (gros entrepreise de technologie et les peyeur des impots etc). Je propose ici de voir ces steak-holders dans la dimmension de collectivité à l’echelle individuelle, locale-regional-publique et internationale. Le fonctionnement de ces steak-holders sont aussi variés, à l’echelle de la centrifuge politique, l’assessement et l’évaluation neutre (scientifique et technologique), mais aussi au degré de l’overture publique du service. Les critère de ces évaluations ne sont pas toujours claire, rien de la mesure quantitative, mais ils doit montrer la différence de l’uns à l’autres.

Sur la figure 2, je pose les axes de la dimmension de collectivité et du service politico-social, et j’essaye de voir les steak-holders regroupés chacuns à leurs positions. Cette méthode n’est qu’une approche hypothético-réductive sans les valeurs mathématiques en réels. Je guide les yeux avec la notion de « social trust » sur trois espaces des acteurs. L’un se trouve à haute colléctivité internationale et centrifuge politique, par exemple l’UE, la commité de l’ITER, qui sont la phase de techno-cratie.

L’autre se place au milieu, les moyens collectivité et ouverture social, les institutions de la recherche, le corps de l’assessment technologique, qui sont la phase de techno-démocratie. Le dernier correspond à haute collectivité local et ouverture sociale, les individus et groupements universitaires, des citoyen et des concernés agriculturelles etc, qui sont la phase de créativité des citoyens.

Dans ce shéma je donne à priori les figures par fleche qui designe l’orientation et l’intérêt de la communication. La communication de l’ITER s’expédie de la phase technocratique et elle s’oriente à la couche sociale de décision, qui sont la phase de techno-démocratie. La communication d’OGM s’orient de la phase des citoyens vers la couche des savants et des decideurs. Ici, l’ante-évaluation de ce trafic consiste à mesurer tous les communications par les critères figurés dans le shéma.

Pourvu que cette étude n’attend que la démarche de la recherche, il est immaturé de montrer les chiffres de trafic de communication, mais la nature de communication de l’ITER et de l’OGM est supporté à priori par l’observation intuitive. Pourtant dans ce shéma, j’ai posé le rôle du marché techno-économique qui se communique à trois phases pour stimmuler l’innovation ou inhiber l’obstacle de l’innovation.

Par cette shématisation, le rôle et le fonctionnement de deux phase techno-cratie et techno-démocratie sont assez claire, mais où sont la créativité des citoyens ?

Par contingence de la communication discursive et argumentative, je pose mon hypothèse que la troisième phase correspond à la vulgarisation des sciences.

Sur le figure 3, je montre le shéma hypothétique de l’appuye sur la nécessité d’intensifier la communication de vulgarisation des science en plusieurs sortes. Les couches des savoirs et des décision ne sont pas la même que le figure 2. En effet, j’ai besoin d’identifier les quatre couches, communication scientifique, technologique, épistémique, et de la vie quotidienne.

Science Communication 3

1. CONCLUSION

J’ai montré le grille de l’histoire de l’ITER et de l’OGM. Suivant le détaille de ces histoires, j’ai shématisé la phase de techno-cratie, techno-démocratie et la créativité des citoyens avec la critère de colléctivité locale et internationale ainsi que de la centrifuge politique et l’ouverture sociale. J’ai introduit la démarche de cette recherche pour évaluer ces phases de communication pour mieux proliférer la puissance de vulgarisation des sciences.

Suivant l’étape de l’appronfondissement de cette recherche, je propose d’aller étudier plus en détaille des dossiers historiques de l’ITER et de l’OGM, nottament l’histoire du système de recherche EURATOM et de l’invention de manipulation génétique en biotechnologie. L’investigation de point de vue pédagogique sur la structure d’apprentissage et d’enseignement au près des décideurs, le corps parlementaire OPECST, ou la Science et Société auprès de Directorat Général de Recherche et Innovation de l’Union Européenne sont capable de poursuivre.

Cette étude s’adresse d’une part à la vulgarisation des sciences et des techniques dans la sphère francophone, notamment au programme doctorale de l’Université de Bougogne CRCMD avec le partenariat de COMUNDOS.

Science Communication 4

1. BIBLIOGRAPHIE

1. RAICHVARG, Daniel. « Science pour tous ? » dans la collection de Découverte Gallimard.

2. SFEZ, Lucien. « Critique de la décision » Presse de la Fondation Nationale des Sciences Poliques, Paris, 1992

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4. BAYLON, Christian et MIGNOT, Xavier. « La Communication » Armand Colin, Paris 2005.

5. VINCK, Dominique. « Sociologie des Sciences » Armand Colin, Paris, 1995.

6. WOLTON, Dominique (ed.) « Sciences et Médias » dans la collection HERMES no.21 ‘Cognition, Communication, Politique’, CNRS Editions, Paris, 1997.

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8. SALOMON, Jean-Jacques. « Misère de la recherche » futurible no. 298 – juin 2004.

9. KLEIN, Etienne. « La science en question », BOURG, Dominique et WHITESIDE. H., Kerry « Précaution : un principe problèmatique mais nécessaire », dans ‘Le débat’

10. ROWE, Gene et FREWER. J., Lynn. « Evaluating Public- Participation Exercises : A Research Agenda » Science, Technology & Human Values, Vol. 29 No. 4, Autumn 2004 512-557.

11. CHRISTIDOU, Vasilia., DIMOPOULOS, Kostas. et KOULAIDIS, Vasilis. « Constructing social representations of science and technology : the role of metaphors in the press and the popular scientific magazines » Public Understand. Sci. 13 (2004) 347-362.

12. C. Marris, P.B. Joly, S.Ronda, and C. Bonneuil “How the French GM controversy led to the reciprocal emancipation of scientific expertise and policy making” SPP vol. 32, No.4 August 2005 (Beech Tree Publishing, GB)

13. G. Rowe, T.H. Hrolick-Jones, J. Walls and N. Pidgeon "Difficulties in evaluating public engagement initiatives : reflections on an evaluation of the UK GM Nations ? public debate about transgenic crops" PUS vol. 14, No. 4 October 2005 (Sage Publications, GB)

14. Les documents parus dans “Euro Science Open Forum 2004” http://www.esof2004.org

15. OECD-GSF http://www.oecd.org/about/0,2337,en_2649_34319_1_1_1_1_1,00.html

16. Programme ITER http://www.iter.org/

17. Les dossiers OGM, IPCC, ICT parus dans le site OPECST http://www.senat.fr/opecst/

18. idem. dans STOA – EU Parliament http://www.europarl.eu.int/stoa/default_en.htm

19. idem. dans EPTA http://www.eptanetwork.org/EPTA/